Quelque part, c’est vrai, on y pense moins… Enfin, non, on ne pense pas moins à toi mais les messages se font plus espacés. Comme le dit justement un message sur TA page Facebook, celle des “Amis de Pascal Albuixech“.
Ça, ça fait marrer à chaque fois d’ailleurs : toi, une page Facebook dédiée !?… Quand on se souvient, non de ton aversion, mais de ta méconnaissance de tout ce qui touche aux ordis en général… Tu en serais où d’ailleurs aujourd’hui ? Tu t’y serais mis ? –,.

Enfin bref, encore une fois, ce n’est pas parce qu’on ne pense plus à toi. Il y a souvent un truc, un je ne sais quoi, un évènement, un mot, une phrase qui font qu’instantanément, tu ressurgis dans nos pensées…

Ce 20 novembre, un samedi cette année, cela fera cinq ans.
Putain, CINQ ans déjà… Putain, que dire de plus ? Que tu manques, ben oui, c’est évident, c’est c… comme la lune de dire ça. Sinon…

Ah si, on pourrait t’en raconter des choses. Certaines te feraient rigoler, d’autres sans doute moins… Aujourd’hui, sans doute serais-tu partie prenante dans l’évolution du club « qui est là où il en est grâce à Pascal » (ce n’est pas moi, c’est le nouveau prés’, Jean-Michel Lopez, qui le dit). L’ancien, Rodolphe, a laissé la place récemment. En fait, je crois qu’il ne pouvait plus… sans toi.

Ben oui, tu vois, tu manques. À beaucoup. Pour plein de choses.

Tous, on est encore là, et même si parfois, on est découragés sans toi à nos côtés, ben on continue. À faire vivre le Tennis Club Gallieni, aujourd’hui revenu dans le giron de l’AMSLF. Ça, sans doute aussi, ça t’aurait fait plaisir… Enfin, je crois…

Albu, ce 20 novembre, ça fait cinq ans. Cinq ans de trop…